Michel Sadanowsky : La Guitare dans tous ses états
Hommages à la Musique Espagnole, Latino-Américaine, à J.S. Bach, au Flamenco et à Georges Brassens
Violoniste dès l’âge de 7 ans, Michel Sadanowsky découvre la guitare quelques années plus tard. Il partage aujourd’hui sa passion pour la musique entre les récitals en soliste et les classes qu’il donne lors de ses voyages.
Depuis l’obtention du 1er Prix du prestigieux Concours International de Guitare de Paris (Radio-France), devant 105 concurrents pour 28 pays, il joue dans le monde entier, dans les plus grands festivals, de Varsovie à Philadelphie, de Stockholm à Séville, de Prague à Hambourg, de Buenos-Aires à Sydney, d’Athènes à Tokyo, de Rome à Hong-Kong, etc.
Transcripteur, compositeur et passionné de flamenco, Michel enregistre chez d’Istria, la Suite flamenca « Le rayon vert» dont il a confié le manuscrit aux Editions Combre de Paris. Un premier hommage à la musique de Georges Brassens suit quelques temps plus tard dont le manuscrit est aussi à Paris aux Editions Billaudot.
Pédagogue, il anime régulièrement de nombreux stages et master-classes (Japon, Chine, Belgique, Portugal, Allemagne, Suède, Australie, Bulgarie, Etats-Unis, Espagne, France, etc.). Il a dirigé le département guitare de l’école Juan Pedro Carrero de Barcelone et créé en 1986 le Stage International de Guitare de Biarritz.
A l’occasion de concerts divers, Michel Sadanowsky a joué avec plusieurs personnalités du monde musical tels que Pierre-Yves Artaud (flûtiste), Régis Pasquier (violoniste), Françoise Knaeps (cantatrice), Rafaël Fays (guitariste de jazz), Paride Canestraro (guitariste de jazz), Pedro Soler (guitariste flamenco), etc.
Membre de plusieurs jurys de concours internationaux, c’est aujourd’hui depuis Biarritz qu’il continue sa carrière.
La presse
Paris : Salle Gaveau : “…prestation de Michel Sadanowsky qui surprend et subjugue.” Le Cahier des Critiques
Biarritz : Palais des Festivals : “Sadanowsky, maître et virtuose, stylise avec la plus grande finesse chacune des
pièces de son programme. » Sud-Ouest
Tokyo : Bunkakaïkan : “…Les six suites pour violoncelle en une soirée plus cinq rappels ! D’où vient ce monstre qui ne connaît pas la fatigue?” Gendaï Guitar
Hamburg : Guitar Festival : « … Michel Sadanowsky peut se vanter d’avoir couronné dignement le Festival de la Guitare de Hambourg.” Die Welt
Bruxelles : Les Riches Claires : “… Michel Sadanowsky atteint la perfection tant sur le plan technique que sur celui de la conception musicale…” Le Diapason
Rome : Armoniosa serata con la chitarra di Sadanowsky “ Très claire conception musicale, où la maîtrise du phrasé exprime une haute expérience artistique.” Il Tempo
Nicosie : Grand Théâtre : “… Une soirée inoubliable… un événement pour les amis de la guitare mais aussi un événement musical…” Chypre – Quotidien «Phileleotheros»
Bruxelles : Espace Senghor : « … sous le charme d’un virtuose exceptionnel ! » Le Soir
Divonne les Bains : Gala de l’Unicef : «… Et le virtuose Sadanowsky revisita Brassens. Un régal musical de premier ordre qui laissa le public sous le charme d’une belle et riche soirée… » Le Journal de Genève – Pierre Fogli
Washington : « Great artist! » G. Ortega – Musica Viva
Puerto Rico : « Fue mágico! » J. Sorroche
Séville : Institut français : « Standing ovation à Séville! On n’a jamais vu ça… » C. Matrat
Paris : Guitare Classique Magazine : Brillant virtuose, Michel Sadanowsky réaffirme la capacité étonnante des mélodies de Brassens à être déclinées dans toutes sortes de styles… L’ensemble est réussi, sans affectivité excessive, mais avec le naturel qui convient. François Nicolas
Biron : Festival Choeur de Béarn : Michel Sadanowsky a offert un récital de haute volée à la guitare classique.
Musique espagnole et… Georges Brassens! L’assistance, durant plusieurs minutes de standing ovation, ne s’y est pas trompée, Biron a accueilli un très grand virtuose en ce début d’été. La Dépêche du Midi
Foulayronnes : Soirée Brassens : Arrivé la veille de Colombie, Michel Sadanowsky a montré toute sa dextérité en enchaînant les morceaux avec une maestria déroutante. La Dépêche du Midi